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On ne se nourrit pas dans la poche du voisin

Ouattara a le dos au mur

ouattara

 Il y a deux ans, dans un article de Jeune afrique, le Fonds monétaire international (Fmi) se montrait réservé sur les scé- narios de croissance préparés par les autorités ivoiriennes et la qualité des données utilisées. «si nos analystes reconnaissent que la fin des élections pourrait rassurer des investisseurs privés qui aujourd’hui seraient dans une attitude attentiste et hisser la croissance au-dessus de nos prévisions de 2016, nous estimons que ce facteur est trop incertain pour être incorporé dans notre scénario de base», indiquait le FMI rapporté par la revue panafricaine.

Toujours selon cette revue, pour justifier sa prudence, l’institution internationale faisait part de ses doutes quant aux données fournies précédemment par le gouvernement ivoirien. Il soulignait que le FMI rappelait les «faiblesses importantes dans le système statistique qui brouillent la mesure précise des performances de croissance». Le FMI s’inquiétait par exemple du «manque de données dans quelques secteurs», qui conduit à l’utilisation des méthodes statistiques «qui fournissent des mesures imprécises». remarquons que la presse est désormais tenue à l’écart de toute visite du FMI. où est la transparence ? En langage clair, quand la précision de l’estimation du PIB est quelque peu incertaine en raison des faiblesses dans la collecte de données, on peut fourvoyer les populations et leur faire croire que tout va bien. or nous savons tous que le prix mondial du cacao est en baisse et que le cours du brut grimpe.

Aujourd’hui, ouattara ne fait que signer des ‘’accords de coopération’’ pour financer l’économie. En langage économique, ce sont des dettes qui viennent alourdir les finances publiques. «On ne se nourrit pas dans la poche du voisin», c’est connu. La Côte d’Ivoire est bien sur des braises ardentes. Il faut donc faire attention aux déclarations ‘’rassurantes’’ du FMI,  , ou du moins chercher à voir les non-dits.