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DISCOURS DE OUATTARA ..OUATTARA est un menteur, le PR. GBAGBO a su trouver les mécanismes du développement dans un contexte si défavorable

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DISCOURS DE NOUVEL AN D’ALASSANE OUATTARA : QUE DE MENSONGES, RIEN QUE DU MENSONGES. VOICI LES PROJETS DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO QU’ALASSANE TENTE VAINEMENT DE S’ATTRIBUER

Après avoir pris connaissance du discours du nouvel an1 du chef de l’Etat Alassane Ouattara dans lequel il a annoncé la livraison très prochaine de nouvelles infrastructures et le lancement de certaines travaux, et surtout après la lecture d’un article de Mr Issouf Kamagaté dans Fraternité Matin du 31 Décembre ou faisant les éloges des grands travaux d’infrastructures de Alassane Ouattara, le journaliste lui aurait attribué les propos ci après : « Mon ambition est de mettre à la disposition de mes compatriotes des services publics de qualité. Je veux procurer des emplois à tous les jeunes et leur permettre de vivre de revenus suffisamment stables et rémunérateurs. La cérémonie marque le départ d’une série de projets tels que prévus dans mon programme de gouvernement, à savoir l’autoroute Abidjan-Bassam, le pont de la Marahoué, le pont de Jacqueville , les travaux de voirie à Abidjan et à l’intérieur du pays. Le pont Henri Konan Bédié en est la toute première illustration2 ». Propos qu’il aurait prononcé le 7 septembre 2011 lors du lancement des travaux du pont Henri Konan Bédié.

Je me suis dit aussitôt qu’il fallait faire vite pour que la vérité rattrape ce gros mensonge qui commence à courir, car on ne doit plus laisser prospérer dans ce pays les mensonges d’Alassane Ouattara. C’est une obligation et une œuvre de salut public que de réagir pour rétablir la vérité.

Bien avant, ce discours du 31 décembre, il inaugurait le 16 Décembre 2014 en grande pompe le pont Riviéra-Marcory en compagnie du président Henri Konan Bédié. Déjà quelques mois auparavant, il avait inauguré le prolongement de l’autoroute du Nord, le Gazoduc Abidjan-Bouaké etc.

Le constat que l’on fait c’est qu’à l’occasion de ces différentes inaugurations, il a toujours passé sous silence le nom de l’initiateur des projets à savoir le président Laurent GBAGBO.

S’il est vrai que nous sommes des politiques et en politique, il n’en demeure pas moins vrai que nous sommes avant tout et surtout des intellectuels. Et l’intellectuel c’est le respect d’un certains nombres de principes parmi lesquels, un à une valeur cardinale. C’est l’honnêteté intellectuelle qui nous recommande de toujours citer les auteurs des œuvres que nous utilisons. A défaut, cela s’appelle du plagiat. Or, il est constant et couramment admis que Alassane Ouattara est titulaire d’un PHD c’est- à-dire du Doctorat. Dès lors il devrait savoir que l’honnêteté intellectuelle l’oblige à indiquer l’auteur des projets qu’il inaugure. À défaut de le faire, il apparait comme un affabulateur, pour ne pas dire un menteur. Ce qui nous amène à nous interroger sur la réalité de sa formation et de son cursus universitaire.

En effet Alassane Ouattara tente maladroitement de s’attribuer les travaux du président Laurent Gbagbo. Il veut encore faire du faux sous nos propres yeux. Parfois dans sa volonté de faussaire il oublie que certains projets, de la conception, en passant par les études techniques, le bouclage

« Retro 2014 : Alassane fait renaître les infrastructures en Cote d’Ivoire» Article paru in Frat-Mat du Mercredi 31 Déc 2014 sous la plume de M. Issouf Kamagaté

financier jusqu’à leur réalisation technique correspondent à un nombre d’années qui dépassent la durée de son mandat. Selon un expert1 les travaux de cette nature prennent au minimum 3 ans pour les études techniques et le bouclage financier sinon c’est quatre(4) ou cinq(5) ans avant leur début d’exécution.

Comment alors peut on être l’auteur de projets dont la durée de la conception, en passant par les études techniques et le bouclage financier jusqu’à la réalisation dépasse en réalité celle de votre mandat ? A là vérité Alassane Ouattara ne fait qu’inaugurer les travaux initiés et lancés par le président Laurent Gbagbo. Il nous est donc apparu nécessaire pour l’histoire mais aussi pour éclairer l’opinion nationale et internationale de dire la vérité.

Sachez une fois pour toute, que Alassane Ouattara n’a rien construit. Ces projets ne figurent nullement dans son programme. Il est un affabulateur et l’honnêteté intellectuelle nous recommande de le dénoncer. En attendant de jeter un regard critique général sur sa gestion, je me suis permis à travers cet article de rétablir la vérité. Voici donc les projets du président Laurent GBAGBO que Alassane Ouattara tente vainement et désespérément de s’attribuer. Ces projets initiés pour la plupart par le président Laurent GBAGBO dès son accession au pouvoir en 2000 (I), ont été poursuivis malgré la rébellion armée pro-Ouattara et l’accord de Linas-Marcoussis (II)

I/ L’ACCESSION DE LAURENT GBAGBO AU POUVOIR EN 2000 ET LA MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME DE REFONDATION

Le 24 octobre 2000 après plus de trente années (30) de lutte politique, Laurent GBAGBO est proclamé Président de la République de Côte d’Ivoire. Il prête serment le 26 octobre 2000.

À sa prise de fonction, il nomme son Directeur de campagne, Pascal AFFI N’GUÉSSAN, ingénieur des télécommunications, Premier ministre. Sous sa direction, le programme de refondation politique, économique et sociale connaît un début d’application effective tant au plan politique (A), économique (B) qu’au plan social (C)

Il faut distinguer le plan purement politique et administratif (1) du plan démocratique (2)

1) Au plan politique et administratif, le Président de la République, Laurent GBAGBO et le gouvernement du Premier Ministre AFFI mettent fin aux pratiques du Parti-État, recrutent des Ivoiriens par le mérite de leur compétence indépendamment de leur appartenance politique. Laurent GBAGBO désormais président de la République démissionne de la Présidence de son parti le Front Populaire Ivoirien (FPI) et soutient AFFI N’GUESSAN pour sa succession.

2) Au plan démocratique, l’ambition du Président de la République est de fonder un État moderne et démocratique. Il s’engage donc à mener une action autour de plusieurs objectifs à savoir :

-la consolidation du processus démocratique par la mise en place d’un forum de réconciliation national, qui a rendu possible l’entrée de ministres RDR au gouvernement ;

- la modernisation et le renforcement de la justice ;

- la garantie des droits de la personne ;

- la définition d’un statut et du financement des partis politiques ;

- la détribalisation et la démocratisation de l’administration publique ;

- la mise en œuvre et l’approfondissement de la décentralisation.

B) SUR LE PLAN ECONOMIQUE

Au plan économique, la politique de refondation a concerné aussi bien l’aspect macro-économique (1) que la micro-économique (2)

1) Au plan macro-économique les relations avec les principaux bailleurs de fonds ont été rétablies. Les budgets 2001 et 2002 appelés « budgets sécurisés » reflètent les ambitions d’un gouvernement qui veut reprendre sa souveraineté des mains des bailleurs de fonds en comptant sur ses propres ressources pour ne plus tendre la main. Et en 2002, sous la conduite du ministre de l’économie et des finances, Paul Antoine BOHOUN BOUABRÉ, la négociation de la réduction de la dette est presqu’achevée.

2) Au plan micro-économique, la privatisation des secteurs stratégiques est abandonnée et les sociétés d’État sont restructurées et renforcées. L’accent est mis sur la transformation et l’industrialisation de nos matières premières agricoles. Au-delà de l’agriculture, il s’agissait non seulement de créer d’autres piliers de développement mais aussi d’ouvrir de nouveaux chantiers et de diversifier les autres secteurs économiques à savoir le secteur minier, le secteur agro-industriel, le secteur touristique. La filière café-cacao est alors rétrocédée aux paysans afin de jeter les bases d’une nouvelle dynamique économique, de garantir la relance du secteur agro-industriel et la création massive d’emploi.

Ces réformes engagées sur le plan économique ont été poursuivies sur le plan social (C)

Au plan social, les fonctionnaires en général et les enseignants en particulier, retrouvent leur dignité perdue sous Alassane Ouattara par la suppression des discriminations salariales et le déblocage des salaires des fonctionnaires.

La santé pour tous se met progressivement en marche avec l’assurance maladie universelle (AMU) basée sur un système de sécurité sociale fondée sur la solidarité des populations et l’appui de l’État. L’éducation pour tous, aussi, est mise en œuvre avec la gratuité de l’école.


Ce programme novateur, particulièrement socialiste et démocratique, visant le plein emploi, la santé, l’éducation, le logement pour tous et le développement local, fut brutalement interrompu par une horde de mercenaires recrutés dans la sous-région sous le parrainage de la Françafrique de CHIRAC et de leur chargé de mission en Côte d’Ivoire : Alassane Ouattara. La tentative de coup d’État du 19 septembre 2002, muée en rébellion, a mis fin à l’ambition de la quête de la souveraineté de la Côte d’Ivoire au moment où le ministre Paul-Antoine BOHOUN BOUABRE se rendait à Washington pour obtenir le point de décision du processus PPTE engagé en 2001.

L’économie sociale de marché n’a pas pu bénéficier de la manne de la réduction de la dette qui pouvait permettre d’aller vers le développement local et le plein emploi, cheval de bataille du programme de la refondation. Cette brusque interruption n’a pas permis également de réaliser l’unité de la filière cacao-café, la définition des procédures et du contrat-plan qui devait permettre un contrôle total par les paysans et l’Etat de toute la filière jusqu’à l’industrialisation.

Cette nouvelle vision de la société ivoirienne, portait atteinte sans doute à des intérêts économiques aussi bien internes qu’externes.

Quoiqu’il en soit dans les faits, une coalition internationale s’est organisée autour de la rébellion pour arrêter cette expérience qui risquait de faire tâche d’huile en Afrique.

Fallait-il pour le Président de la République abdiquer ou résister ?

Le Chef de l’État, le président Laurent GBAGBO, choisit la résistance. Ce qui nécessitera d’importants sacrifices. En effet, le Président Laurent GBAGBO, à la tête d’un pays braqué fait beaucoup de concession à l’impérialisme français, accepte les décisions prises lors des différentes négociations de Lomé (Togo) et de Linas Marcoussis (France) en janvier 2003. En effet, il partage le pouvoir avec l’opposition armée et fait de grandes concessions aux multinationales françaises.

Malgré tout, infailliblement, le peuple le soutient et n’arrête pas de le lui manifester.

Cependant, malgré la crise et le programme de Linas-Marcoussis financé par les ressources qui devaient être affectées au programme de refondation, la démocratisation a été poursuivie par la décentralisation et le développement local à travers la municipalisation complète du pays et la mise en place de Conseils Généraux, mais aussi par la réalisation de Grands Travaux (II)

II/ LA POURSUITE DES PROJETS1 DE DEVELOPPEMENT MALGRE LA REBELLION ARMEE PRO-OUATTARA ET L’ACCORD DE LINAS-MARCOUSSIS

Il s’agit pour l’essentiel de grands projets d’infrastructures (A) pour lesquels, le président Laurent GBAGBO s’appuyait sur une expertise Ivoirienne (B)

Il ya d’une part les projets dont les études techniques sont achevées et le bouclage financier réalisé (1) et d’autre part ceux dont le bouclage technique est terminé mais pas le bouclage financier (2)

1) Les projets dont les études techniques sont achevées et le bouclage financier réalisé

On distingue : soit les projets entièrement réalisés sous le président Laurent GBAGBO, soit les projets lancés par le président Laurent GBAGBO et en cours d’exécution, soit les projets déjà prêts à être exécutés. Ce sont :

1-Le Village des Technologies de l’Information et de la Bio Technologie,

2-La poursuite du Transfert de la capitale politique à Yamoussoukro,

3-Le projet du Grand Abidjan,

4-le prolongement de l’Autoroute du Nord de Singrobo à Yamoussoukro,

5-Le Pont de Jacqueville,

6-La construction du Mémorial Félix HOUPHOUËT BOIGNY,

7-Le Village Ivoire,

8-L’extension du Port Autonome d’Abidjan,

9-L’extension du Port Autonome de San-Pedro,

10-Le 3ème pont Riviéra-Marcory,

11-Le pont Laurent GBAGBO, ou 4ème pont Yopougon-Ile Boulay

12-La réhabilitation de la Corniche,

13-Le Palais des Parlementaires,

14-La Modernisation de l’Aéroport Félix HOUPHOUËT BOIGNY,

15-Le Gazoduc Abidjan-Bouaké,

16-Le lancement du bitumage de l’Axe Boundiali-Tengrela,

17-Le Crédit d’Appui au secteur agricole ou le Plan Directeur Vivrier,

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18-Le bouclage technique et financier du projet Nickel de Biankouma-Touba,

19-L’achèvement de la construction de l’Hôpital Catholique Joseph Moscati de Yamoussoukro,

En dehors de ces projets ci-dessus, il ya ceux dont les études techniques étaient terminés mais dont le bouclage financier n’était pas encore réalisé (2)

2) Le bouclage technique en attendant la sortie de crise des projets suivants visant la conquête de la souveraineté économique et l’intégration Africaine. Il s’agit :

1-La Voie express Abidjan-Bassam,

2-La Voie express Abidjan-Ghana,

3-Le projet de Train Urbain d’Abidjan,

4-Le Complexe Olympique d’Abidjan,

5-Le projet de Réhabilitation du Pont Félix HOUPHOUËT BOIGNY,

6-Les Marchés de Gros dans les Chefs-Lieux de Région,

7-Les abattoirs et les marchés à Bétail régionaux,

8-Les Gares Routières Inter Urbaines Régionales,

9-Les Zones Industrielles dans les Chefs-Lieux de Région,

10-Les Centres Artisanaux Régionaux,

11-Les Parkings Publics dans la ville d’Abidjan,

12-Le projet de construction du Pont sur le Bandama (Axe Beoumi-Kounahiri),

13-Un réseau de Ponts Bascules Routiers,

14-Un Réseau de Transports Collectifs dans les Chefs-Lieux de Région,

15-Une usine de traitement des ordures ménagères à Abidjan,

16-La mise en place d’un Plan de Collecte et de Traitement des Ordures Ménagères dans les Chefs-Lieux de Région,

17-Le projet de construction de cités destinées aux élèves et étudiants,

18-L’aménagement de l’Aéroport de San-Pedro,

19-Le projet de construction du Chemin de Fer San-Pedro-Mont NIMBA et son prolongement en Guinée,

20-Le projet de création d’Agropole dans la ville Abidjan, le projet de construction d’un marché de gros pour la Ville d’Abidjan etc.

Le secteur des mines et des télécommunications a également été relancé. Des programmes sectoriels ont été exécutés : l’électrification rurale s’est poursuivie dans plus de 1 300 villages, des centres de santé ont été construits, et l’adduction en eau potable dans les zones les plus enclavées est devenue une réalité. Ces chantiers de reconstruction et de construction, initiés tout juste après Linas Marcoussis par le Président Laurent GBAGBO, avaient des centres de décision et une expertise purement ivoiriens (B).

En effet, Laurent GBAGBO, conscient de l’existence en Côte d’Ivoire de ressources humaines bien formées et compétentes, s’appuie résolument sur des entreprises ivoiriennes telles que la PETROCI et la SIR pour le secteur pétrole et raffinage, la Banque Nationale d’Investissement (BNI), la Société de Transport d’Abidjan (SOTRA), le Port Autonome d’Abidjan (PAA), le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA), le Centre de Promotion pour les Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), l’Association pour la Promotion des Exportations de Côte d’Ivoire (APEXI), le Bureau National d’Études Techniques et de Développement (BNETD) doté d’une longue expérience dans la maîtrise d’œuvre des projets de développement.

C’est au plus fort de la crise en 2003, toujours avec cette confiance inébranlable au potentiel des Ivoiriens, et ferme sur sa volonté de ne compter que sur les ressources internes et l’entraide entre africains pour se passer des aides, que Laurent GBAGBO a donné mandat au BNETD dirigé par Ahoua DONMELLO d’exporter son expertise en Afrique afin que les africains prennent eux-mêmes leur développement en main, qu’ils le planifient et le réalisent eux-mêmes en renforçant la coopération Sud-Sud. Doté d’une vision intégrée du développement, Laurent GBAGBO veut en effet voir une Afrique debout qui se prend en charge et s’entraide pour éviter de souscrire aux aides.

Tout ceci est non seulement la preuve que malgré un contexte socio politico-économique difficile, la Côte d’Ivoire a continué d’être construite et modernisée par des personnes motivées, inspirées par un homme doté d’une vision particulière et positive qui a su préserver et fructifier les acquis de cette Nation naissante. Conscient du fait que la base de tout développement réside dans l’acquisition d’un savoir-faire, dans l’âpreté au travail et dans le goût « du travail bien fait ».

De ce fait, réaliser le « plein emploi » à travers les atouts et les compétences ivoiriennes, en passant par le changement des mentalités, est le challenge auquel s’est attelé pendant des années ce dirigeant politique.

De surcroît les leviers de l’économie ivoirienne indiquent tous que les atouts sont énormes et que la Côte d’Ivoire possède des ressources humaines, naturelles et financières pour assurer son rebond qualitatif.

Laurent GBAGBO a su trouver les mécanismes du développement dans un contexte si défavorable qu’il dira, pour annoncer sa candidature en 2010 :

« Mon espérance, ma foi et ma conviction, c’est qu’après avoir connu la partie la plus aiguë de cette crise née de la mort d’HOUPHOUET, qui est la guerre, l’élection que nous allons connaître, va mettre une fin définitive, et à cette crise, et à cette guerre. C’est pour cette raison que je suis candidat … Moi, mon lien, c’est avec la mère nourricière, la Côte d’Ivoire. Et je suis candidat pour la Côte d’Ivoire, je suis candidat pour poursuivre le combat de la libération, je suis candidat pour combattre ceux qui n’aiment pas la Côte d’Ivoire …  C’ est pourquoi, tous les ivoiriens et tous ceux qui vivent en Côte d’Ivoire doivent mesurer la portée historique de cette élection qui n’est pas seulement le fait de changer les institutions et de choisir de nouveaux hommes ; mais c’est véritablement le fait que nous changeons d’époque … Depuis 1990, je vous propose inlassablement des réformes sociales en profondeur pour la Côte d’Ivoire …  C’est vrai que leur choix se porte aujourd’hui sur moi mais au fond, ce n’est pas moi le plus important. Leur choix se porte sur moi parce que je suis le porteur de ce combat, de leur propre combat … Je suis candidat pour la Côte d’Ivoire, je suis candidat pour les Ivoiriennes et pour les Ivoiriens. Je suis candidat pour continuer le combat que nous avons commencé. Je suis candidat pour continuer le combat que nos parents ont commencé depuis les années 40 et que certains ont abandonné. Je suis candidat pour la Côte d’Ivoire, le combat a commencé, en avant ! »

Cet homme-là était assurément dangereux pour les prédateurs et leurs alliés locaux. Malgré sa victoire aux élections présidentielles de 2010, il a été arrêté par les forces françaises après d’intenses bombardements de sa résidence et emprisonné à la Haye pour avoir respecté la Constitution de la République de Côte d’Ivoire et osé la souveraineté économique et financière pour son pays. Et depuis le 11 avril 2011, la Côte d’Ivoire a perdu, son âme, sa souveraineté et est sous occupation politique, économique, militaire et foncière.

Il est certes emprisonné par les parrains de Alassane OUATTARA, mais ce n’est pas une occasion pour lui voler ses idées, ses projets, sa vision du développement. Nous devons empêcher Ouattara dans sa forfaiture et dire la vérité aux Ivoiriens et au monde entier. Surtout que Laurent GBAGBO avait initié ses projets pour le bonheur des Ivoiriens alors qu’Alassane OUATTARA, lui, les met en œuvre contre les Ivoiriens et au profit de ses amis françafricains qui ont financé la guerre contre la Cote d’Ivoire.

Kouamé Kouakou dit Ok

Juriste d’affaires –Manageur

DEA Droit de l’économie Internationale

DESS Droit des affaires

DESS Management du risque

Militant FPI, Exilé politique,