"Cette répression inopportune qui s’est abattue aussi bien sur les manifestants que sur des journalistes, alors même que la marche n’avait pas encore connu un début de commencement, a occasionné des blessés à l’armes blanches et 48 interpellation dont 30 ont été remis en liberté et 18 mis sous mandat de dépôt et déférés à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (MACA) dans la nuit du vendredi 23 mars 2018", selon le communiqué de l’EDS.
Le jeudi 23 mars, la plate-forme a organisé une marche pour marquer sa "ferme opposition à la composition actuelle" de la CEI et "appeler le pouvoir à un dialogue inclusive en vue de la réforme attendue de cette commission et pour créer, de façon consensuelle, les conditions d’élections justes et transparentes en Côte d’Ivoire".
EDS a lancé un "appel" au pouvoir afin de "créer les conditions d’un dialogue constructif avec l’opposition".