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Sangaré relève le ridicule dans la gouvernance Ouattara : «le pays va mieux, les ivoiriens vont mal !»

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M. Abou Drahamane Sangaré,vieux et fidèle compagnon de lutte du président Laurent Gbagbo, le «jumeau» de Gbagbo ou le gardien du Temple comme l’appellent les militants engagés dans le combat

du célèbre détenu arbitraire de la Cour pénale internationale

célébration du dixième anniversaire de l’Union des Nouvelles

Générations (UNG).

Le samedi 25 fevrier dernier, dans un hôtel d’Abidjan Riviera II, avant de rendre un vibrant hommage à Stéphane Kipré, président de

l’UNG en exil, le président Abou Drahamane Sangaré s’est livré à

décryptage de la pitoyable gouvernance d’Alassane Ouattara à

la tête de la Côte d’Ivoire.

« Monsieur le Vice-président Bohui arnaud, assurant l’intérim du président stéphane Kipré,Honorables Membres de la direction, Militantes et Militants de l’uNg,
J’ai ressenti avec honneur et fierté votre aimable invitation à la cérémonie de lancement de la célébration de la dixième
année de l’Union des Nouvelles Générations (UNG),
votre parti. Cerise sur le gâteau,vous m’honorez en qualité
d’˝Invité Spécial˝. Je ne doute pas un seul instant qu’à
travers ma modeste personne,cet hommage est rendu au
plus illustre d’entre tous, le président Laurent Gbagbo. Au
nom du président Laurent Gbagbo et en mon nom propre,
je vous prie de recevoir mon infinie gratitude.
La cérémonie de lancement de la célébration du dixième
anniversaire de votre organisation intervient dans un contexte national dominé par l’imprévisibilité
du moment. Il flotte dans l’air du temps comme une idée
de destin suspendu, de situation nationale qui évolue vers le pire.

Nous avons l’impression d’un souffle retenu, d’une respiration arrêtée. La Côte  d’Ivoire vit une crise gravissime face à la déroute des valeurs républicaines les plus essentielles et le manque de repères
sociétaux. La situation alarmante de nos finances publiques
est presque absente du débat politique, la dette publique
plombe la Côte d’Ivoire,menace son indépendance et
l’avenir de nos enfants.
Le régime Ouattara martèle que la Côte d’Ivoire va mieux,
les Ivoiriens, eux, vont mal. Le discours politique, au lieu de les rassurer, les renvoie davantage
à leur sentiment d’être des laissés-pour-compte, car il
n’apporte aucune réponse à leurs angoisses. Les Ivoiriens
découvrent sur le tard qu’ils ont remis leur destin entre les
mains d’un homme qui n’a cessé de les tromper sur ce
qu’il est et sur ce qu’il fait. Un homme dont la seule trace
dans l’Histoire reste pour l’heure qu’il n’aurait jamais dû
accéder à la magistrature suprême sans le président Sarkozy dont les aveux concernant le renversement du
président Laurent Gbagbo sont extrêmement choquants et indécents : «On a sorti laurent gbagbo, on a installé alassane Ouattara, sans aucune polémique,
sans rien». Il ajoute l’insulte à la mémoire de tous
ceux qui sont morts, victimes de la violence déclenchée par
son gouvernement : C’est le meilleur moyen pour sortir
Laurent Gbagbo et installer
Alassane Ouattara ! Et si malgré toutes ces vies sacrifiées,
le président Sarkozy estime qu’il a sorti Laurent Gbagbo et
installé Alassane Ouattara «sans aucune polémique, sans
rien», c’est juste parce que, dans l’échelle de valeur qui est
la sienne, la mort de 3000 Africains ne vaut même pas une
polémique. Monsieur Ouattara, un homme qui n’entretient
aucun rapport distant avec la réalité, à qui la violence tient
lieu de valeurs, qui fait toujours jurer les mots avec les choses et qui n’a cessé de tenir un double langage. Le rêve d’un chef qui tourne au cauchemar.
Au-delà des incantations, nul ne sait comment la Côte
d’Ivoire pourra s’extirper d’une glissade vers le pire, plus
grave que les précédentes. Au niveau international, un
détail énorme domine ce début d’année 2017, tel que l’expriment les médias : l’imprévisibilité du moment. Rarement il aura été aussi vain d’avancer sur la plupart des sujets, la moindre prévision raisonnable.
Tout se passe comme si les dirigeants, en Amérique, comme en Europe et en Asie, étaient à la table d’un casino planétaire, dans l’attente du bon ou du mauvais numéro. L’Europe retient son souffle après le BREXIT et la désunion communautaire face à la crise des migrants.
Le projet européen est au bord du gouffre. L’imprévisibilité
est plus marquée encore au Proche Orient, comme en
Russie, aux Etats-Unis d’Amérique comme en Amérique
Latine, en Asie ou en Afrique.
Tout cela avec le sentiment angoissant d’être dans un monde sonné par les attentats terroristes.
Rappelons-nous, à l’orée de cette nouvelle
année, que nous sortons d’un n’apporte aucune réponse à
leurs angoisses. Les Ivoiriens découvrent sur le tard qu’ils
ont remis leur destin entre les mains d’un homme qui n’a
cessé de les tromper sur ce qu’il est et sur ce qu’il fait. Un
homme dont la seule trace dans l’Histoire reste pour
l’heure qu’il n’aurait jamais dû accéder à la magistrature suprême sans le président Sarkozy dont les aveux
concernant le renversement du président Laurent Gbagbo sont extrêmement choquants et indécents : «On a sorti laurent gbagbo, on a installé alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien». Il ajoute l’insulte
à la mémoire de tous ceux qui sont morts, victimes
de la violence déclenchée par son gouvernement : C’est le
meilleur moyen pour sortir Laurent Gbagbo et installer
Alassane Ouattara ! Et si malgré toutes ces vies sacrifiées,
le président Sarkozy estime qu’il a sorti Laurent Gbagbo et
installé Alassane Ouattara «sans aucune polémique, sans
rien», c’est juste parce que, dans l’échelle de valeur qui est
la sienne, la mort de 3000 Africains ne vaut même pas une
polémique. Monsieur Ouattara, un homme qui n’entretient
aucun rapport distant avec la réalité, à qui la violence tient
lieu de valeurs, qui fait toujours jurer les mots avec les choses et qui n’a cessé de tenir un double langage. Le rêve d’un chef qui tourne au cauchemar.
Au-delà des incantations, nul ne sait comment la Côte
d’Ivoire pourra s’extirper d’une glissade vers le pire, plus
grave que les précédentes.
Au niveau international, un détail énorme domine ce début
d’année 2017, tel que l’expriment les médias : l’imprévisibilité du moment. Rarement il
aura été aussi vain d’avancer sur la plupart des sujets, la
moindre prévision raisonnable.
Tout se passe comme si les dirigeants,
en Amérique, comme en Europe et en Asie, étaient à
la table d’un casino planétaire,dans l’attente du bon ou du
mauvais numéro. L’Europe retient son souffle après le
BREXIT et la désunion communautaire face à la crise des migrants.
Le projet européen est au bord du gouffre. L’imprévisibilité
est plus marquée encore au Proche Orient, comme en
Russie, aux Etats-Unis d’Amérique comme en Amérique
Latine, en Asie ou en Afrique.Tout cela avec le sentiment angoissant d’être dans un monde sonné par les attentats terroristes.
Rappelons-nous, à l’orée de cette nouvelle
année, que nous sortons d’un vieux monde pour pénétrer
dans un autre. Nous avons du mal à le comprendre, tant il est neuf. Cela ne signifie pas qu’il soit indéchiffrable. Il porte en lui autant de promesses que
de menaces.
Dans un contexte très particulier,la Côte d’Ivoire et les autres pays du monde vivent l’emprisonnement du président Laurent Gbagbo de l’exil du président de l’UNG, Stéphane
Kipré. Le président Laurent Gbagbo, guide du FPI et le référent politique des forces politiques et sociales
démocratiques, des souverainistes
et des panafricanistes.
Le président Stéphane Kipré,  le guide de l’UNG. Tous deux
sont à des milliers de kilomètres de leur pays, hors de
l’Afrique, sur une terre étrangère.
Tous deux sont loin de leur peuple. Mais ils sont loin
également de leur parti, de leurs parents, de leurs amis et
connaissances. Tout comme le FPI porte le Président Laurent Gbagbo comme un tatouage
indélébile, l’UNG porte le Président Stéphane Kipré comme
un tatouage indélébile. Il ne
pouvait en être autrement. Il y a en chacun de nous quelque chose du président Laurent Gbagbo. Il y a en chacun de vous quelque chose du président
Stéphane Kipré.
Il ne peut pas y avoir que des mauvaises nouvelles. Je suis
tranquille et serein, parce que très bientôt, plus tôt qu’on ne le pense, nous nous réveillerons avec un jour nouveau, un jour illuminé par la libération du président laurent gbagbo et concomitamment, du retour
d’exil du président stéphane Kipré qui, par fidélité et
loyauté, a lié son sort à celui de son père, le président laurent gbagbo. Nous vivons avec le sentiment euphorisant que la vie réserve des surprises qui
défient l’imagination. Que l’impensable
n’est pas impossible.
Que l’imprévisible est possible et l’impossible doit être prévu.
Que le sort a parfois de cesruses qui pulvérisent les évidences.
Ça autorise tous lesespoirs. Rien n’est figé, rien
n’est rayé. La roue tourne,tourne, tourne. L’incroyable
perspective de la libération du président Laurent Gbagbo
commence à se dessiner. On le pressent dans la déposition
des témoins, dans l’attitude maintenant conciliante du juge,
dans la menace de retrait de certains pays de la CPI avec,
parfois, l’exécution de la menace.
On le devine dans les signes d’énervement de nos
adversaires. On le perçoit dansl’attitude des journalistes, des intellectuels : l’année 2017 s’est ouverte dans le traumatisme des crépitements d’armes des mutins. Elle se refermera dans l’euphorie avec la libération du président Laurent Gbagbo, la fin de l’exil du président Stéphane Kipré et leur retour glorieux en Côte d’Ivoire. La Côte d’Ivoire alors renaîtra. Soyez assurés et rassurés

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